pendant la grossesse
Témoignages de parents – Paroles choisies –
« Il est primordial que le papa touche l’enfant
et lui parle lorsque la maman est enceinte
car c’est les fondations de leur relation qu’il va établir…
c’est comme une maison :
la naissance c’est le rez-de-chaussée/jardin
et après c’est les étages. »
A., maman de deux enfants.
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« Si le papa aussi touche l’enfant, lui parle,
en plus de la maman, cela équilibre les polarités : féminin et masculin. »
M., jeune maman
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« Lorsque la maman chante ou émet des sons
pendant la grossesse,
cela aide au développement harmonieux
de la moitié supérieure du corps de l’enfant.
Lorsque le papa, ou un homme,
fait/fée de même cela développe la moitié inférieure(…) »
Marie Louise Aucher & Iseult Welsh
Centre de psychophonie et chant prénantal
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« Quand le futur papa touche le ventre
de sa compagne enceinte, il permet à celle-ci
d’accepter son corps, cette rondeur…
Cela créé un lien fort qui sera important
pour la naissance et par la suite. »
E., sage femme et maman
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« La communication avec l’enfant pendant la grossesse
est déterminante sur la communication entre l’enfant
et ses parents pendant sa petite enfance,
son enfance, son adolescence, sa vie adulte,
selon ce qu’elle a été ou n’a pas été. »
O.
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« C’est un plaisir que cette rencontre du père
touchant son enfant encore dans le ventre de la mère.
Il n’y a pas de contre-indication à entrer
dans ce contact encore et encore…
Cette sensualité, écho de la conception,
est importante. »
G., papa de trois enfants
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« Toucher, c’est être curieux de ce mystère de la vie,
surtout pour un premier enfant,
ensuite c’est être plus conscient de cet être qui vient.
Cela dépend beaucoup aussi de là où en est
la relation du couple. »
O., papa de deux enfants
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« Rien n’est neutre,
je suis devenus plus conscient au fil des cinq enfants
que j’ai accompagnés,
la qualité de présence pendant le toucher
n’amène pas toujours la même chose ;
si tu parles ou non à l’enfant en même temps,
si tu as une approche légère ou non… »
A., papa de cinq enfants
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« Les enfants abandonnés aux orphelinats, même nourris et changés, se laissent mourir s’il ne son pas câlinés, aimés (mal de l’hospitalisme). »
Dr. Spitz
Et qu’en est-il dans le ventre de la mère ?!
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